#credit #fintech #inclusion : Le secteur du micro-crédit / paiement fractionné toujours en mouvement
==> Finfrog lève 5 millions d’euros avec pour mission de « sortir [ses] clients de la spirale du découvert » et des frais bancaires associés et pour objectif de développer sa gamme d’outils d’aide à la gestion budgétaire, sa gamme de produits (épargne) et ses partenariats.
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==> PayPal choisit la France pour lancer sa solution de paiement en 4 fois. L’occasion d’un article récapitulatif sur les acteurs du paiement fractionné à cette occasion. Comme les alma, pledg ou pagantis PayPal est plutôt positionné sur les PME (vs. acteurs historiques concentrés sur les grands comptes). Avec l’intégration directement dans son wallet, Paypal a l’avantage de ne nécessiter aucun onboarding pour permettre au commerçant de faire bénéficier du paiement fractionné.
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==> Apple accompagne ses clients refusés pour améliorer leur solvabilité des clients ne remplissant pas les conditions d’éligibilité à son offre de carte de crédit.
Un principe : miser sur la pédagogie et la transparence pour leur permettre d’améliorer leur solvabilité
Une démarche en 3 temps : expliquer la raison du refus, permettre d’améliorer sa situation financière en 4 mois et une acceptation simplifiée à l’issue de cet accompagnement
Pour plus de détails, lire l’article C’est pas mon idée !
#OpenBanking : L’état d’avancement
Selon l’observatoire de l’open banking de KPMG vient confirmer que les banques européennes ont un degré de maturité sur le nombre, la valeur métier et l’expérience développeur de leur catalogue d’APIs. Assez logiquement, elles sont elles-mêmes surclassées par les acteurs issus de la tech
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#raisondetre : La HBR donne quelques guidelines pour définir sa raison d’être de manière sincère et efficace.
Les écueils à éviter : il est facile de tomber dans les travers
- d’une raison d’être attrape-tout, simple outil de communication
- d’une raison d’être opportuniste qui se saisit d’un enjeu sans le connecter à son modèle économique
- d’une raison d’être qui ne mange pas de pain, pas vraiment connectée à un enjeu spécifique à l’entreprise.
Pour être légitime, la raison d’être doit
- Identifier des enjeux sociétaux concrets et qui lui sont propres
- Ré-envisager son modèle économique en le connectant à l’ensemble des problématiques qui en sont issues
Lire l’article de la HBR
#Tribune #RSE #Climat : Les patrons de 76 entreprises appellent à « s’emparer de l’urgence climatique »
« Profitons de l’élan qui accompagne l’effort de reconstruction, après la catastrophe de la pandémie. Nous devons en effet adapter nos stratégies, nos modèles économiques, nos missions pour que nos entreprises soient compétitives sur le long terme, pour qu’elles puissent durablement jouer leur rôle de création de valeur dans la société, non pas aux dépens de l’environnement mais au service du vivant et de notre santé. »
« Ce serait une retraite en forme de défaite que de reporter à plus tard ce nécessaire travail, nous ne ferions que réduire notre marge de manœuvre. Nous devons aux plus jeunes de construire un avenir résilient. Nous leur devons la fierté et le courage de relever des défis de grande ampleur. Nous nous devons la solidarité et la coopération qui seront source de concorde et apaiseront les tensions qui secouent le pays. Soyons ambitieux, osons, engageons-nous et faisons équipe. «